Ouïghours : pour en finir avec les fake news

26/03/2021
Bonjour à tous,


Aujourd'hui je voudrais vous présenter un livre publié par l'édition « La Route de la Soie » qui s'intitule « Ouïghours pour en finir avec les fake news ». 


C'est un ouvrage qui fut réalisé par Maxime VIVAS, un écrivain, journaliste, administrateur du site le grand soir et animateur radio de Toulouse.


Je tiens à préciser que je ne prends nullement position dans ce livre, je présente juste l'ouvrage et je vous le partage en pensant que cela pourrait intéresser certains d'entre vous.

 
J'ai également mis quelques liens internet qui étaient dans le livre. Certains sont en mandarin, mais pour ceux qui ont la fonction traduction sur Google vous pouvez avoir une version traduite correctement en français. Parfois c'est écrit « échec de la traduction », il faut réessayer plusieurs fois pour que ça marche.


Bonne lecture.


Pour lutter contre la désinformation et démontrer que le « génocide Ouïghours n'existe pas est qu'elle n'est qu'une fable et même une lutte politique antichinoise (China-bashing). Maxime VIVAS va s'appuyer sur des sources telles que : des déclarations de l'ONU, d'une enquête de la banque mondiale, les témoignages des chirurgiens et des enquêtes des membres de l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé). Il va également dénoncer les arguments des pseudo experts et sinologues et révéler leur lien avec la CIA et également dénoncer d'autres organisations telle que la NED au statut juridique, soi-disant, indépendant du gouvernement des États-Unis.


Dans son ouvrage l'auteur dénonce les tentatives de manipulations, de diffamations et de calomnies exercés par les journalistes français et qui sont relayés par d'autres pays occidentaux. Il rappel pour cela la Charte de Munich qui relate les droits, qui sont dû aux journalistes et leurs devoirs comme celui de respecter la vérité, de ne pas altérer les textes et les documents et de ne pas confondre le métier de journaliste avec celui de propagandiste. Ou encore de rectifier toutes les infos inexactes publiés, ce qui est également un droit à l'erreur en tant que journaliste mais également un devoir de corriger les erreurs commises. Ce qui ne semble pas être le cas de la France qui d'après l'auteur semble pour des raisons politiques, d'intérêts ou tout simplement un manque de connaissance se complaire dans la désinformation et qui est lourdement appuyé et relayé sur les réseaux sociaux comme l'affirmation des mariages forcés entre Ouïghours et Han. Ou encore l'enfermement de Ouïghours pour avoir refusé de manger du porc et boire de l'alcool. Cela va même plus loin au travers des certains médias comme le journal Libération qui avait titré dans son journal « Ces enfants que la Chine martyrise » daté du 6 septembre 2019. https://boutique.liberation.fr/products/copie-14-juillet-2057

Un autre exemple de désinformation est celui du 21 juillet 2020 intitulé « Ouïghours génocide en cours ». Complété également par la chaîne de radio Free Asia (radio soi-disant « privée » mais toutefois, subventionné par le congrès des États-Unis) qui a dénoncé que des millions de Ouïghours sont détenus dans ces camps de concentrations et que même des enfants y subissent des prélèvements d'organes pour ensuite les revendre à des pays arabes comme l'Arabie Saoudite, ce qui rapporterait des milliards de dollars chaque année à la Chine. Une dénonciation ratée de la part du médecin Ouïghours Enver Tohti. Le 15 mars 2019 ce médecin exilé aux USA avait prétendu que l'ambassade saoudienne était impliquée dans le commerce d'organes pour de riches saoudiens. Mais le 21 mars il publie un tweet d'excuse dans lequel il prétend avoir menti. Une autre de ses supercheries fut déjoué lorsqu'il avait prétendu avoir pratiqué lui-même ces opérations de trafics d'organe sur des pratiquant du Falun gong et s'est déclaré lui-même comme un criminel. Alors pourquoi n'a t-il pas été jugé ? Tout simplement parce que la justice ne croit pas à son histoire et si elle décidait de l'interroger il serait sans doute en prison, car il avait expliqué le faire sous les ordres de son supérieur (dont il fut incapable de donner le nom et celui de l'hôpital où il a pratiqué l'opération). Par conséquent, ayant obéi aux ordres sans que sa liberté et sa vie ne soit menacé il s'est rendu complice de crimes. Ilse serait alors exposé à une condamnation car l'excuse de « j'ai obéi aux ordres » n'a jamais permis aux accusés du procès de Nuremberg d'échapper à leur condamnation.  

https://ntdin.tv/en/article/english/chinese-doctor-confesses-to-murder-for-getting-live-organs


Une autre fake news se base sur les femmes Ouïghours qui y seraient stérilisées de force et y subiraient des violences sexuelles. La BBC avait interviewé en juillet 2020 Zumret Dawut, une femme Ouïgours qui prétendait avoir été emprisonné dans un camp de rééducation et que son utérus lui a été retiré de force. Or, c'est elle-même qui avait demandé une opération contraceptive après avoir donné naissance à son troisième enfant par césarienne, à l'hôpital de soin maternelle et infantile d'Urumqi en mars 2013 (Rappel : les Ouïghours et les autres minorités ethnique comme les tibétains n'étaient pas concerné par la politique de l'enfant unique, qui existait à cette date). L'hôpital a d'ailleurs conservé le formulaire qu'elle avait signé. Contrairement, à ce qu'elle prétend, ce n'est pas son utérus qui lui a été retiré par une opération chirurgicale. L'opération a consisté à une ligature des trompes conformément à sa demande d'opération contraceptif. Son frère Abduhelil Daut lui aurait même demandé de stopper ses mensonges et aucun autre de ses proche, de son voisinage ou du personnel de l'hôpital n'a confirmé ses dires. https://www.amb-chine.fr/fra/zfzj/t1803312.htm


La politique de Pékin (Beijin dans le livre) au Xinjiang consisterait à diminuer la pauvreté et promouvoir l'éducation afin d'arracher la région à la misère. Pour autant, rien dans le politique de Pékin ne contraint les Ouïghours à renoncer à leur langue, leur culture et leur croyance. D'ailleurs l'article 36 de la Constitution chinoise garantie les libertés religieuses. Prenons par exemple les mosquées : certains médias ont dénoncé la destruction de mosquée comme une tentative du gouvernement chinois de vouloir interdire cette religion, ce qui est faux. Effectivement, des mosquées ont été détruite mais cela se justifie par le fait que celles qui ont été démolis ont été déclaré inaptes ou délabrés. Elles ont ensuite été reconstruites en plus grandes pour accueillir plus de fidèles et cette décision fut prise en concertation avec des croyants et des chefs religieux. (Pour rappel tous les Ouïghours ne sont pas musulmans). De plus le nombre de musulmans a augmenté puisque la Chine est passé de 2 000 mosquées dans les années 1970 à 24 400 aujourd'hui, ce qui correspond à une mosquée pour 530 fidèles en moyenne, soit 10 fois plus que le nombre de mosquées aux États-Unis. Les minorités du Xinjiang bénéficient également d'aides pour la création de commerce et d'entreprises et d'une discrimination positive pour leur permettre d'intégrer les prestigieuses universités de Pékin. Il est à rappeler qu'au cours du dernier quart de siècle, la Chine a arraché 635 milliards de personnes à la pauvreté, ce qui représente l'équivalent totale de la population de l'Afrique Noire. Alors que la Chine était encore il y a 70 ans un des pays les plus pauvre du monde. Selon l'agence Xinuha, le taux de pauvreté serait ainsi passé de 97,5 % en 1978 à 3,1 % en 2017 soit une personne qui sort de la pauvreté toutes les 2 secondes. Et les salaires moyens auraient triplé.
https://politics.people.com.cn/n1/2020/0124/c1001-31561705.html 

https://www.xinhuanet.com/fortune/2018-12/08/c_1123825971.htm

Contrairement aux idées reçues le Xinjiang n'est ni une terre ou région musulmane, c'est une région chinoise pluriculturelle regroupant 56 ethnies dont les Ouïghours qui est la plus importante dans cette région avec 50 % de la population, suivie des Han qui représente 30 % (elle est toutefois l'ethnie majoritaire en Chine avec plus de 90 % de la population (Note perso : 92 % pour être précis d'après le magazine l'Histoire et le livre de José Frèches intitulé les 4 500 ans d'histoire de la Chine), suivi d'autres minorités comme les Kazakhs, les Huirs, les Kighizes ect. C'est également une région ou divers communautés religieuses cohabitent : des taoïstes, des bouddhistes et des chrétiens. La religion musulmane des Ouïghours n'est alors pas réprimée, mais contenu afin d'éviter qu'elle ne soit problématique de part des déviances fanatiques telles que le séparatisme, le fondamentalisme et le terrorisme, cela afin d'éviter que la région ne devienne un califat indépendant ou qu'il ne laisse place à la charia. La Chine a compris que le terrorisme recrute des gens étant dans la misère économique, c'est également en élevant le niveau de vie des régions pauvres qu'elle réduit l'expansion du terrorisme. La Chine a aussi une approche pénale qui est fondé sur un équilibre entre une punition sévère à l'égard de ceux qui ont commis des crimes majeurs et une politique indulgente de réhabilitation envers ceux coupable de crimes mineurs. Cela serait la clé de la politique préventive de lutte contre le terrorisme en Chine. La Chine n'a aucun intérêt à provoquer des conflits ethniques et cela leur est interdit par leur constitution de l'article 4, qui condamne toutes discrimination envers les minorités. La Chine ne combat pas les Ouïghours en tant qu'ethnie, ce n'est donc pas un génocide dont la définition est d'exterminer un groupe humain de même race, langue, nationalité ou religion. La Chine lutte, éduque et protège les populations contre le terrorisme dont elle a été plusieurs fois victime comme la France, l'Europe et les États-Unis Plusieurs exemple en témoignent comme l'attaque d'un poste de police à Kashagar le 4 août 2008 au moment des Jeux Olympiques qui causa la mort de 16 personnes. Ou encore toujours à Kashagar d'une attaque aux couteaux et à l'explosif dans la nuit du 30 au 31 juillet 2011, causant 13 morts et 42 blessés qui étaient des passants dans la rue et des clients d'un restaurant à proximité. Le 1er mars 2014 à la gare de Kumming une autre attaque terroriste à fait 31 morts et 41 blessés. Et l'attaque dans une mine de charbon de Baicheng au Xinjiang le 18 septembre 2015 par des extrémistes Ouïghours qui a causé la mort de 16 personnes et en a blessé 18. Cette histoire avait à l'époque provoqué un scandale de la part d'Ursula Gauthier, une correspondante du journal l'OBS qui avait nié le caractère terroriste et avait accusé la Chine de se servir de cette excuse pour réprimer les populations Ouïghours. Sa mauvaise fois lui a valu de ne pas avoir pu renouveler son visa et elle dénonça avec l'appui des organisation non gouvernemental pro américaine un lynchage médiatique, une campagne de diffamation et d'intimidation pour ne pas avoir, d'après ses propos « Voulu écrire sous la dictée des chinois ». Toutefois, ces ONG se sont bien gardées de publier l'article qui a ulcéré Pékin, ne donnant ainsi qu'un seul point de vue de cette situation. Ce n'était d'ailleurs pas la première fois que le journal l'OBS détourne la vérité au profit du mensonge, comme il l'a reconnu le 2 novembre 2016 après que des photos de matraquage de moines au Népal ai été détournés pour illustrer une répression au Tibet. D'autres journalistes font également la même chose en détournant des photos de répression d'autres pays pour les faire coïncider avec des violences à l'encontre des Ouïghours en Chine. Il existe d'ailleurs une application InVIP Video Vertas qui peut nous renseigner sur l'origine de la photo. https://www.invid-project.eu/invid-verification-application/


Si le gouvernement chinois est autant investi dans la lutte contre le terrorisme, c'est également parce que la région du Xinjiang est le second producteur de pétrole qui fournit 1/3 de la consommation de gaz naturelle. Elle représente également le plus grand gisement d'uranium de Chine et c'est le premier producteur de charbon qui représente 40 % des réserve nationale. Par conséquent, il y a aussi des intérêts financiers et commerciales et également touristique puisque la Chine veut en faire une région sécurisé. De plus le Xinjiang est un point de passage clé important pour les gazoducs et les oléoducs d'où partent les nouvelles routes de la soie prévu pour 2050. Pékin a la responsabilité d'assurer la sécurité de ces axes afin de favoriser les échanges dans de bonnes conditions et protéger les investisseurs, car le projet des routes de la soie se chiffre en milliards de dollars. La Chine va également investir 1 300 milliards de dollars d'ici 2027, soit 10 % de son PIB (ce qui représente 10 fois le Plan Marshall lancé après la 2nd guerre mondiale pour relancer l'économie en Europe). Étant donné que 138 pays participent à ce projet les pertes économiques seraient catastrophiques et on peut ainsi comprendre la nervosité de Pékin face aux terroristes islamistes.

https://www.gov.cn/zhengce/2019-03/18/content_5374643.htm


Le 18 mars 2019 le gouvernement chinois a affirmé que depuis 2014 furent arrêté 12 955 terroristes, saisis 2 052 explosifs et 30 645 personnes furent sanctionnés pour 4 858 activités religieuses illégales. 345 229 textes religieux illégaux de littérature wahabite et takfiriste propageant des messages de haine ont été saisies, il ne s'agit donc pas du Coran comme l'affirme certains journalistes. Aujourd'hui, des milliers d'apprentis terroristes de nationalité chinoise reçoivent des formations par Al-Qaida en Syrie. Ils participent à des activités « guerrières » avec Al-Quaida et rentre en Chine poursuivre leur activité. Ce sont les mêmes fanatiques qui ont semé la mort en Tchétchénie, en France et en Chine. Seymour Hersh, un journaliste d'investigation étasunien a prouvé dans un article paru dans la London Review of Books l'existence d'une navette qui transporte des terroristes du Xinjiang vers la Syrie. Les « djadhistes » Ouïghours du Xinjiang empruntent cette voie de transport clandestine pour rejoindre la Syrie via la Turquie, pays membre de l'OTAN, organisation politico-militaire sous-direction étasunienne. Pour lutter contre le terrorisme islamiste les autorités chinoises ne nient pas l'existence de centre ouvert ou d'un internat, dont l'objectif est l'apprentissage d'un métier, d'une formation civique, d'une déradicalisation, de l'apprentissage du mandarin. Cela non pas pour que les Ouïghours et autres minorités renoncent à leurs dialectes, mais pour favoriser la communication, car au Xinjiang lorsqu'une assemblée des élus se réuni il faut cinq interprètes ce qui rend la communication compliquée. Comme disait Confucius « Sans langage commun les affaires ne peuvent être conclus ». Il existe aussi des prisons de délinquants mais nos médias préfèrent appeler cela des « camps de concentrations » pour critiquer la méthode employée par la Chine alors que depuis sa campagne de déradicalisation la Chine n'a plus connu d'attentat islamiste depuis 3 ans. Elle a su apporter une réponse rapide contrairement à la France et d'autres pays occidentaux qui ont échoué à le faire en laissant la pauvreté se développer, en créant des quartiers de ghettos et en regroupant dans des prisons des individus qui vont se radicaliser. D'autres méthodes en Chine sont utilisés comme les caméras de surveillances et de reconnaissance faciale, une abondance des contrôles de police, des check pointe sur les routes, des apparitions de QR code sur les maisons suspectes, un fichage des téléphone, des enregistrements de carte SIM, mais ces mesures n'ont rien de très différentes aux mesures qui ont été prises en France lors de l'État d'urgence : interdiction de séjour, dissolution d'associations, assignation à résidence, obligation de se présenter périodiquement aux forces de l'ordre, fermeture provisoire des lieux de divertissement, blocage et saisi de site internet et des d'échanges de données numériques, système de vidéosurveillance ect. Cela est également la même chose aux États-Unis. Depuis 2017 l'administration américaine a exigé le déploiement de la technologie a reconnaissance faciale dans 20 aéroports à travers le pays. La police de New York a mis en place un système de surveillance de la ville et le suivi des données individuelles des téléphones portables. Le FBI a même sans licence eu accès à 640 millions de photos de visage disponible dans les bases de données. D'après un rapport de l'université de Geogetow la moitié des adultes américains (un peu plus de 117 millions de personnes) sont inscrite dans un réseau de reconnaissance faciale de force de l'ordre.C'est à Genève que la tempête sur le prétendu sort des Ouïghours commence et va devenir un événement mondiale. En France, cela provoque l'indignation pour un pays qui se veut attaché à la laïcité et au respect de toutes les croyances et incroyances. Les médias et les associations « humanitaires » et des sites internet vont reprendre répéter et déformer ces informations sans vérification préalable. Cela s'explique par le manque de connaissance de la Chine de la part des pays occidentaux et par une vision biaisée de la culture américaine qui est altéré par le cinéma Hollywoodien présent en France depuis le plan Marshall qui, en plus d'une aide économique, s'est accompagné d'une obligation de diffuser 30 % de film américain dans nos cinémas chaque année, modifiant la perception que nous avons de ce pays et qui influence notre point de vu. Ainsi, les citoyens lambda seraient prêts à signer la déclaration « Free Ouïghours » car il serait contre le manque de liberté alors que pourtant une étude de 2018 a révélé qu'il y aurait 2,1 millions de prisonniers aux USA pour 331 millions d'habitants contre 1,65 millions en Chine pour 1,4 milliards d'habitants. Sans compter que les prisons aux USA sont déplorables pour les détenus, ce qui est un comble pour un pays qui se galvanise de respecter les droits et la dignité humaine. https://lekiosquedenewyork.com/?p=12033


Mais la calomnie de tentative d'un china-bashing n'a pas pour objectif de sauver la vie desOuïghours mais de créer des troubles sur un territoire qui progresse pacifiquement en voulant se développer économiquement. Le véritable objectif de l'oncle Sam est de préparer l'opinion mondiale à toute mesure de rétorsion, boycott et amande pour que les USA conserve leur leadership. Cela s'accompagne également d'un leurre pour détourner les vrais problèmes qui ont été prouvé et médiatisé par France24, le 28 septembre 2018 sur 10 millions d'enfants esclaves en Inde, pourtant nous ne voyons pas de pancarte « Free India Children », car l'ennemi principal reste la Chine étant donné qu'elle reste le grand rival commercial des États-Unis. Au départ, la source de cette campagne anti-chinoise ne fut pas l'ONU (Organisation des Nation Unies) qui a accusé la Chine de détenir des millions de Ouïghours dans des camps comme la prétendue les médias occidentaux. Cette source nous vient de Mme Gay McDougll, qui fait partie d'un organisme indépendant nommé « Le Comité pour l'élimination de la discrimination raciale » (CERD) et qui se base sur des sources qu'elle est incapable de cité n'ayant pas fait d'études ou de recherche sur la Chine. Son 1er mensonge est au World Uyghur Congress où elle aurait fourni sans preuve que des rapports nombreux et crédibles (qu'elle ne peut pas nommer) l'on instruite sur des détentions massives de Ouïghours dans des camps d'internements dont les propos furent appuyés par divers organisations comme Network of Chinese Human Right Defenders, qui est également financé par la NED. Certaines Organisations Non Gouvernementale et Internationales et certains de leurs adhérents sont également dénoncé par l'écrivain qui d'après lui manquerait de neutralité et d'indépendance, ce qui s'expliquerait par le fait qu'elles soient subventionnées par les États-Unis. En 2014, une lettre d'Adolfo Pérez Esquievel, prix Nobel de la paix avait rédigé une lettre signée par une centaine de chercheurs qui demandaient à l'ONGI « Human Right Watch » de se démarquer de la politique des USA et de cesser son parti pris dans les condamnations des pays. 

https://www.globalresearch.ca/nobel-peace-laureates-to-human-rights-watch-close-your-revolvingdoor-to-u-s-government/5381992


La NED (National Endowment for Democraty) est également visée comme n'étant pas une ONG neutre, elle serait une branche de la CIA ayant pour objectif de servir des intérêts personnels sous couvert des USA. Elle a par exemple subventionné les putschistes qui ont brièvement renversé le président du Vénézuella, Hugo CHAVEZ en 2002. Philip Agree, un ancien agent de la CIA, a révélé dans une interview du 22 mars 2005, que la NED est utilisé par la CIA pour intervenir dans les affaires intérieures des pays. La centrale de renseignement des USA ne peut pas directement subventionner des organisations ou programmes qui doivent paraître libre soit peine de se voir discréditer. La CIA doit donc avoir recours à des relais comme la NED, qui n'est pas une agence privée mais une agence gouvernementale US. Comme l'avait dit Carl Gershman, premier président de la NED : « Il serait terrible que le monde voie la CIA quand elle finance des organisations et que, pour le cacher, la NED avait été créé ». Lorsque les USA veulent créer des troubles comme à Hong Kong et au Tibet, elle arrose la NED qui doit se donner les moyens de trouver des preuves tangibles par la mise en place de leader d'opinion, d'organisations de séminaire d'information, d'intervenir aux nations Unis, au Parlement Européen, d'impliquer d'autres ONG en faveur des droits de l'homme et d'intervenir auprès des communauté internationales et des médias pour publier des documents qui serviront de sources documentaires, et de se livrer à un playdoyer mondial comme ce fut le cas du WUC en faveur des Ouïghours.Le congrès mondial Ouïghours (WUC) fut fondé en 2004 à Munich en Allemagne et se présente comme une organisation humanitaire de défense des droits de l'Homme. Ce congrès milite pour : l'indépendance du Xinjiang (qu'il nomme Turkestan oriental), promouvoir la démocratie et des droits humains, ainsi que la liberté du peuple Ouïghours à travers des actions démocratiques et nonviolentes. 

https://www.uyghurcongress.org/fr/

Plusieurs des dirigeants du WUC ont occupés des postes de direction à « Radio Free Asia », « RadioFree Europe » et « Radio Liberty », qui sont des agences de presses financé par la NED. La subvention au Xinjiang versée par la NED fut de 2 643 698 $ entre 2016 et 2019.

https://www.ned.org/apply-for-grant/en/


Il y a également d'autres fake news propagé par un journaliste d'investigation du nom d'Éthan Gutmann qui nous dit sans objectivité et sans impartialité « Il y a de fortes chances qu'il y ait des prélèvements lucratif d'organes » sans y fournir de preuve concrète (se dédouanant d'en donner en disant que les corps et par conséquent, les preuves ont été brûlé), cette information est ensuite répété par d'autres journalistes sans vérifications (l'information circulaire de l'information) causant ainsi un effet boule de neige et à force qu'un mensonge soit répété il devient UNE vérité à défaut d'être LA vérité tellement ses arguments sont bourrés de conditionnel « Il semblerait que », de témoins douteux ou maladroit et invisible. Même Amnisty International et Human Rights Watch ont affirmé en 2018 qu'elles n'ont pas été en mesure de vérifier si ces allégations étaient crédibles. C'est également le cas d'un autre détracteur du nom d'Adrian Zeng, un allemand évangéliste fondamentaliste et proche des évangélistes américains. Un personnage haut en couleur qui se dit guider par Dieu pour une mission contre Pékin. Il donne des chiffres sur le nombre de prisonniers dans des camps Ouïghours qu'il reconnaît lui-même comme spéculative mais toutefois crédible. Dans un de ses rapports il dénonce des rapports de santé trop fréquents qu'il perçoit comme un planning familial forcé visant à un contrôle les naissances. Effectivement, il y a bien des contrôles de santé, mais l'objectif est d'intervenir de façon a réduire la mortalité infantile des régions pauvres comme le Xinjiang. La Chine n'a aucun intérêt à provoquer une guerre contre les minorités.Ce n'est pas la première fois que des journalistes propagent de fausses informations qui sont ensuite lu par des politiciens, puis dénoncé non pas comme une information prouvée, mais comme une information plausible. Il y a eu de nombreux cas dans l'histoire ou des informations furent affirmé comme vrais alors qu'elles étaient en réalité du « boulshite » et dont les enquêtes ont été bâclés et ou des innocents furent même parfois condamnés. C'est le cas de l'affaire Dreyfus. De la fiole de Colin Powell. Des couveuses du Koweït en 1990, ou une prétendue infirmière (fille de l'ambassadeur du Koweït à Washington) avait déclaré avec un grand jeu d'actrice, le massacre de bébés d'un hôpital par des soldats irakiens et qui s'était adonné à diverses exactions barbares. De l'affaire des pédophiles d'Outreau en 2002, condamnant des innocents à la prison, provocant un suicide et un divorce ainsi que 13 vies brisés. Toutes ces fake news peuvent conduire à des conflits mondiaux. Mais d'autres ONG et organisations mondiales se montrent plus critique des fake news qui sont rapporter. C'est le cas de la Banque Mondiale qui avait été alerté sur un mauvais usage concernant un prêt qu'avait fait la banque d'un montant de 50 millions de $ au Xinjiang en 2015 pour la construction de cinq collèges, qui pourrait servir à construire des camps. La banque mondiale a envoyé une équipe de cadre supérieur qui fit un rapport pour constater qu'aucun problème n'était à signaler, et pour stopper toutes allégations une supervision renforcé fut mise en place. Même l'OMS ne croit pas les médias. Le 8 juin 2020, le sénat Belge avait débattu sur la Chine concernant les rumeurs des journalistes sur les greffes d'organes. Le Dr Francis DELMANICO avait déjà déclaré en 2016 une diffamation médiatique. En 2015, il y avait bien eu des prélèvements d'organes uniquement pratiqué sur des condamnés à mort, mais cette pratique bien qu'elle fût abolie certains détracteurs feint de l'ignorer. Sur 193 pays membres de l'ONU seul 39 ont demandé à la Chine de respecter les droits humains des Ouïghours du Xinjiang. Ce n'est donc pas l'ONU mais une minorité étriquée (dont la France) composé de pays occidentaux pro états-uniennes. L'ONU n'a pas non plus ratifié les accusations de Clémentine Autain de la commission de l'assemblée nationale qui a demandé que des mesures sont prise contre la Chine qu'elle accusa de « torture, travail forcé, stérilisation ect ».

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